Journal d'écoute / Listening Diary
2009-05-30
2e écoute/2nd listen: ARTISTES VARIÉS-VARIOUS ARTISTS / Dante’s Inferno (The Divine Comedy, Part 1) (Musea)
J’ai revisité une bonne partie de cette compilation concept aujourd’hui et, encore une fois, je suis émerveillé par la qualité de cette série de projets entre Musea et le magazine Colossus. Celui-ci est le plus ambitieux du lot: mettre en musique, dans le style rock progressif des années 70, La Divine Comédie de Dante Aligheri, texte fondateur de la littérature italienne et l’un des grands textes de la littérature mondiale. Nous avons ici QUATRE disques pour couvrir le premier tome de l’ouvrage: L’Enfer. Chaque groupe en présence s’est vu attribuer un chapitre (un chant), qu’il traite à sa manière (littéralement ou symboliquement), dans sa langue. Les contributions de Yesterdays, Nathan Mahl et Sinkadus sont dignes de mention, mais le niveau de qualité est élevé d’un bout à l’autre. Cet album est parmi les meilleurs de la série, juste en dessous des trois volumes de Spaghetti Epic.
Had some work to do today, so I revisited part of this concept compilation and, once again, I have flabbergasted by the consistent quality of this string of collaborative projects between Musea and the magazine Colossus. This project is the most ambitious of them all: setting to music (‘70s prog rock style) Dante Aligheri’s Divine Comedy, a founding text of the Italian literature, and one of the great works of World Literature. What we have here is FOUR CDs covering only the first volume of the work: Inferno. Each contributing band was attributed one chapter (or chant), with the mission to make what they wanted of it (taking it literaly or symbolically), in their own tongue. There are great songs from the likes of Yesterdays, Nathan Mahl, and Sinkadus, but everyone turns in at least a more-than-decent contribution. This album ranks among the best ones in the series, just behind the three volumes of Spaghetti Epic. And it’s a crash course in modern progressive rock bands.
2009-05-31
2e écoute/2nd listen: GILLES AUBRY / Berlin Backyards (Crónica)
Retour sur ce disque d’art sonore à base d’enregistrements sur le terrain, dans les arrière-cours des buildings de Berlin. (Mon premier commentaire se trouve ici.) Un disque solide, qui réussit à donner un vernis onirique à des espaces qui, à la base, n’ont rien de poétique. Beau jeu de profondeurs spatiales. Une écoute qui demande beaucoup d’attention, sans quoi l’oeuvre se fond rapidement dans le décor, mais il suffit d’un petit effort mental pour la ramener au premier plan.
Back to this sound art record based on field recordings in the backyards of Berlin buildings. (Find my initial comment here.) A strong record that manages to create a dreamy outlook on spaves that basically have nothing poetic about them. Nice play on spatial distances and depths. That said, it’s a demanding listen; as soon as your attention drifts off, the music blends into the background. However, it only takes a small mental effort to tug it back to the fore.
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