Alors ça y est: aujourd'hui, Productions Plateforme a dévoilé la programmation complète du FIMAV 2013. Vous trouverez la liste des artistes sur le site du FIMAV: http://fimav.qc.ca/edition/accueil/. Profitez de la pré-vente du Passeport Festival, jusqu'à la fin du mois.
Here we are: today, Productions Plateforme unveils the complete line-up of FIMAV 2013. Find the list of participating artists on FIMAV's website: http://fimav.qc.ca/en/edition/home/. The festival pass is on pre-sale until the end of the month.
Iva Bittová
Gyan Riley
Evan ZiporynTim BradyThurston Moore
Chelsea Light MovingOxbowZGAJean-François Laporte
Benjamin ThigpenMichel Doneda
Tatsuya NakataniMc MaguireUpstream OrchestraAnna Homler
Sylvia HallettThe Book Of KnotsThe Thing
Thurston MooreHikashuHaunted HouseJohn Zorn
Dans le cas de Zorn, il s'agit d'une journée complète (le dimanche) consacrée à lui, avec cinq concerts couvrant ses dernières compositions pour Moonchild, The Dreamers et Electric Masada, un programme d'œuvres de musique de chambre, un "Songs Project" inédit et une prestation de Zorn à l'orgue d'église (oui, à l'église).
Zorn gets a complete day devoted to his music (Sunday), with five concerts covering his latest works for Moonchild, The Dreamers and Electric Masada, a program of chamber music works, a still-unrecorded "Songs Project", and a Zorn performance on church organ (yes, in a church).
J'admets être très fier du line-up cette année, particulièrement de la venue de MC Maguire, ZGA, Hikashu, Homler/Hallett et Loren Mazzacane Connors (avec Haunted House).
I have to say that I am very proud of this year's line-up, especially to have MC Maguire, ZGA, Hikashu, Homler/Hallett, and Loren Mazzacane Connors (with Haunted House) come to Victo.
Portail du journalisme et de l'activisme musical de François Couture.
Home of François Couture's music journalism and activism.
2013-02-08
2013-02-07: Shalabi Effect, The Zombies, The Beatles
Journal d'écoute / Listening Diary
2013-02-07
SHALABI EFFECT / Feign to Delight Gaiety of Gods (Annihaya)
Le nouvel album de Shalabi Effect, leur cinquième, m’arrive d’une
étiquette libanaise! Et ce disque double est une heureuse surprise: le groupe
de Sam Shalabi y renouvelle son langage et arrive à me surprendre tout en
demeurant lui-même. Le premier CD a un côté très zappaesque: juxtapositions de
styles, conversations mêlées à la musique, une pièce-titre de 4 secondes
consistant en un “euh...” épistémologique – on se croirait dans Lumpy Gravy. Et je le dis
comme un grand compliment. Ce premier disque est truffé de trouvailles, de
folies, et de pièces courtes fort réussies. Le second disque est moins relevé,
mais “White Phosphorus Christmas”, 30 minutes, vaut largement le détour. Feign
to Delight Gaiety of Gods fusionne tout à l’aune du psychédélisme: improviation
et composition, spontanéité et montage studio, orient et occident. C’est
l’œuvre la plus aboutie et distinctive de Shalabi depuis son fameux Osama. Très chaudement
recommandé.
Shalabi Effect’s new album, their fifth, comes out on a Lebanese
label! And this double CD set is wonderful surprise: Sam Shalabi’s band managed
to renew their vocabulary and surprise me while staying true to themselves.
Disc 1 has a strong Zappa vibe going on: music style juxtapositions,
conversations woven into the music, a 4-second title-track consisting of a
single epistemological “hemmm…” – it’s a new take on Lumpy Gravy.
And coming from me, it’s one hell of a compliment. Disc 1 is full of fresh
ideas, off-the-wall stuff, and successful short tracks. Disc 2 is less
exciting, although the 30-minute “White Phosphorus Christmas” is quite a feat. Feign to Delight
Gaiety of Gods blends a lot of things under the realm of psychedelia:
improvisation and composition, spontaneous playing and studio editing, West and
East. It’s Shalabi’s most accomplished and distinctive album since his famous Osama. Very
strongly recommended.
THE ZOMBIES / Odyssey and Oracle (Big Beat)
Yep, mon obsession avec le jeu SongPop frappe encore - la moitié des
chansons de ce classique de 1968 (leur deuxième et dernier album) figure dans
la playlist “Psych Rock” de ce jeu sur Facebook. Très belle pop psychédélique,
beaucoup de jeux stéréos - presque trop, ça détourne l’attention de l’écriture.
“Time of the Season”, évidemment, est un classique, mais il y a plus que ça à
découvrir sur ce disque. J’aime bien. Il y a plusieurs vers d’oreille
là-dedans.
Yep, my obsession with SongPop strikes again – half the songs on this
1968 classic (their second and final album) are included in that facebook
game’s “Psych Rock” playlist. Very fine psychedelic pop, lots of stereo panning
– too much actually, it distracts from the songwriting. “Time of the Season” is
of course a stone cold classic, but there’s a lot more on this album to
discover. I like it. Lots of potential ear worms in here.
THE BEATLES / Revolver (EMI)
Je reprend brièvement mon exploration à rebours du catalogue des Beatles
là où je l’avais laissée (pour connaître le contexte de cet exercice,
recherchez le mot-clé Beatles). Revolver (1966). Certains de mes amis
y voient le summum du groupe. Pas sûr. Les classiques sont classiques:
“Taxman”, “Eleanor Rigby”, “Tomorrow Never Knows”. D’accord. Mais le reste?
J’apprécie les innovations studio qui se déploient sur ce disque, mais
l’écriture n’est pas encore à la hauteur de ces nouvelles possibilités (à
l’exception de “TNK”). Peut-être mieux dosé que Sgt. Pepper’s..., mais nous sommes
loin des hautes sphères de Magical Mystery Tour, The Beatles et Abbey Road.
I’m resuming for a bit my backward exploration of The Beatles catalog
where I had left it (for more on why I’m doing this, search for the keyword
Beatles). Revolver (1966). Some of my friends see it as the band’s peak. Hmm. I
beg to differ. The classic songs here are definitely classics: “Taxman”,
“Eleanor Rigby”, “Tomorrow Never Knows”. But what about the rest? I appreciate
the studio innovations found here, but the songwriting is not on par with these
new possibilities (with the glowing exception of “TNK”). Perhaps more balanced
than Sgt. Pepper’s…, but we’re far from the heights of Magical Mystery
Tour, The Beatles, or Abbey Road.
2013-02-07
2013-02-05/06: Nick Brooke, sroM, Anthony Braxton, Iannis Xenakis, Traces Two, Acid Mothers Temple
Journal d'écoute / Listening Diary
2013-02-05/06
NICK BROOKE / Border Towns (Innova)
Imaginez un croisement entre les plunderphonics de
John Oswald et le projet Say No More de Bob Ostertag
(où de vrais musiciens apprenaient les pièces montées par Ostertag à l’aide
d’échantillons de leur jeu). Nick Brooke a parcouru l’Amérique profonde
(physiquement et culturellement) pour glaner des échantillons sonores, qu’il a
ensuite assemblées en pièces complexes qui rappellent People Like Us. Puis, il
a demandé à sept chanteurs et chanteuses d’apprendre à marier leurs voix aux
échantillons, question de réduire au minimum la distinction entre
enregistrement et performance en direct. Le résultat est impressionnant et
déroutant. Kitsch et ironie côtoient l’hommage. Le grésillement des sources est
doublé de prestations virtuoses, et le tout forme une toile musicale complexe,
avec des moments microtonaux troublants et des juxtapositions étonnantes. Une
certaine monotonie dans la forme s’installe au fil des 14 pièces, mais ça n’affecte
pas trop la qualité du projet. [Ci-dessous:
Un extrait de l’album, “Silver City”.]
Imagine a cross between John Oswald’s
plunderphonics and Bob Ostertag’s Say No More project (where real
musicians had to learn the pieces created by Ostertag using samples of their
own playing). Nick Brooke travelled the deeper recesses of America (physically
and culturally) to gather sound samples. Then, he assembled these samples in
complex tracks reminiscent of People Like Us. Finally, he asked seven singers,
male and female, to learn to blend their voices with the samples in order to
minimize the distinction between live performance and sample. The results are
impressive and confounding. Kitsch and irony brush elbows with homage. The
grating sound of very old samples is paired with virtuoso performances. And the
whole thing forms a complex musical web, with troubling microtonal moments and
surprising juxtapositions. A certain monotony in form sets in through the 14
tracks, but that doesn’t lessen the quality of the project. [Below: “Silver City,” the opening
track.]
SROM / One (Accretions - merci
à/thanks to John Bourke P.R.)
sroM est le pseudo de Stephanie Robinson. Sur One, elle
propose huit études sur synthétiseurs analogiques: une pièce, une note, jouée
sur des synthés qu’elles manipulent en temps réel. Des musiques qui nous
rappellent les possibilités des claviers à boutons et tirettes, ceux qui
permettaient toutes sortes de manipulations du son. Cela dit, c’est tout de
même un peu limité comme projet. Ce disque est paru sur vinyle et sur disque
compact, mais je n’ai vu aucun de ces formats (j’ai eu droit uniquement à des
mp3 - et les tags des fichiers ne correspondent pas à l’ordre des pièces sur le
communiqué de presse, alors je n’ose pas citer des titres).
sroM is the alias of Stephanie Robinson. On One,
she delivers eight analog synthesizer studies: one track, one note, played on
synths she fiddle with in real time. Music to remind us of the possibilities
these knobs-and-sliders keyboards offered. However, the results are somewhat
limited in scope. This album is out on CD and LP, but I haven’t seen either
format (I only got mp3s, and file tags don’t match the track list on the press
release, so I don’t dare mention actual titles).
ANTHONY BRAXTON / Sax Quintet (New York) 1998 (New Braxton House)
En 1998, la Knitting Factory a présenté un festival
Braxton sur trois jours, où tous les ensembles ont interprété la même
œuvre,”Composition No. 173.” – question d’illustrer la malléabilité du système
de Braxton. Voici ce que cette composition (à l’origine pour 4 acteurs, 2
solistes et ensemble) donne en version quintette de saxophones. En présence:
Braxton, James Fei, Chris Jonas, Seth Misterka et Jackson Moore. Un arrangement
très vif, au mélodisme complexe, rehaussé de solos enlevants. Emballant. Offert
gratuitement en février 2013 aux abonnés de New Braxton House et à la carte aux
autres.
In 1998, the Knitting Factory presented a 3-day
Braxton festival where all the ensembles performed the same work, “Composition
No. 173”, to show off how flexible Braxton’s system is. Here’s what this piece
(originally scored for 4 actors, 2 soloists, and ensemble) sounds like in sax
quintet version. The players are Braxton, James Fei, Chris Jonas, Seth
Misterka, and Jackson Moore. An ultra-vivid rendition, with complex melodicism
spiced up by spirited solos. A thrilling listen. A free download for New
Braxton House subscribers in February 2013, also available a la carte.
IANNIS XENAKIS / GRM
Works 1957-1962 (Recollection GRM -
merci à/thanks to Forced Exposure)
La collection vinyle Recollection GRM consacre un
volume aux travaux de Iannis Xenakis au sein du GRM – ce ne sont pas ses
meilleurs, il y a quelque chose de très cru dans ces pièces, mais certaines ont
un intérêt historique. Comme “Concret PH” présentée à l’Exposition universelle
de Bruxelles. “Orient-Occident”, une musique de film, est une œuvre
polysémantique intéressante à déconstruire. La face B propose “Bohor” (1962)
dans une version remaniée en 1968 par le compositeur et jamais publiée à ce
jour. Or c’est une pièce trop longue, au mixage inélégant. Je n’ai reçu que des
mp3 pour cette critique, mais le volume consacré à Ivo Malec était un objet
fort élégant et bien conçu.
The LP series Recollection GRM devotes a volume to
Iannis Xenakis’ GRM-based works. They are not his best works – there’s a crude
side to them – but some have historical significance. Like “Concret PH”
presented at the Brussels World Fair. And the film music “Orient-Occident” is a
polysemantic work that’s fun to deconstruct. Side B features “Bohor” (1962) in
a version revised by the composer in 1968 and never released before. But it’s a
very long track, with inelegant mixing. I only got mp3s for this review, the
volume devoted to Ivo Malec was a classy, well-designed object.
ARTISTES VARIÉS - VARIOUS ARTISTS / Traces Two (Recollection GRM - merci à/thanks to Forced Exposure)
Toujours dans la collection vinyle Recollection GRM
d’editions Mego, voici une compilation de quatre œuvres de la première moitié
des années 70, puisées dans les archives du Groupe de recherches musicales
(GRM). Elles sont signées Dominique Guiot, Pierre Boeswillwald, Rodolfo Caesar
et Denis Smalley. Le Guiot (“L’oiseau de paradis”) est une créature étrange et
aguichante, qui laisse plusieurs questions sans réponse – c’est la raison
principale pour se procurer ce disque. “Pentes” de Smalley est l’autre grande
attraction – une pièce délicate hantée par la cornemuse – mais celle-ci est
déjà disponible sur le CD Sources/scènes de Smalley
(empreintes DIGITAles, 2000).
Still in editions Mego’s Recollection GRM series,
here’s an LP compiling early-to-mid-‘70s works taken from the Groupe de
recherches musicales’ archives. They are by Dominique Guiot, Pierre
Boeswillwald, Rodolfo Caesar, and Denis Smalley. Guiot’s “L’oiseau du paradis”
is a strange and enticing creature that leaves several questions unanswered –
it’s the main reason to get this LP. Smalley’s “Pentes” is the other one – a
delicate piece haunted by Northumbrian pipes – but it’s already available on
Smalley’s CD Sources/scènes (empreintes DIGITALes, 2000).
ACID MOTHERS TEMPLE & THE MELTING PARAISO U.F.O. / Son of a
Bitches Brew (Important)
Deux raisons justifient d’attirer particulièrement
votre attention sur ce nouvel opus d’AMT: il marque le retour de Casino Cotton
(woo-hoo!) et, pour une fois, le jeu de mot de son titre traduit un réel
hommage. L’album démarre doucement en mode jazz électrique. “Son of a Bitches
Brew” est l’une des pièces les plus étonnantes du répertoire d’AMT: elle est
profondément inspirée par l’ambiance du classique de Miles Davis. C’est
sidérant. Puis, au fil des pièces, l’album redevient plus classiquement du AMT,
gagnant du volume et de la vitesse. J’en aurais pris plus dans la veine des
trois premières pièces, mais tout de même, c’est différent, et c’est très
réussi. [Ci-dessous: La pièce
titre.]
Two reasons for you to pay special attention to
this new AMT opus: Casino Cotton is back (woo-hoo!) and, for once, the pun-like
title is paralleled by an actual homage in the music. The album kicks off
slowly in electric jazz mode. “Son of a Bitches Brew” is one of the most
surprising tracks in AMT’s repertoire: it is deeply inspired by the mood on
Miles Davis’ classic album. It’s stunning. Then, track by track, the music
gains volume and speeds and turns into a more classic AMT sound. I would have
taken more like the first three tracks, but it’s still a very different and
highly successful album. [Below:
The title track.]
2013-02-06
Délire actuel, 2013-02-05
DÉLIRE ACTUEL
Réécoutez (streaming ou téléchargement) la dernière
édition de Délire actuel ICI (cherchez Délire actuel dans la
liste).
You can listen (stream or download) to the latest
Délire Actuel broadcast HERE (look
for Délire Actuel on the list of shows).
Édition du 5 février 2013
Broadcast of February 5, 2013
DESCRIPTION
DESCRIPTION
Revisitons nos classiques / Improvisation libre : 1re heure:
Trois disques s’ajoutent à notre liste des classiques des musiques exigeantes,
et ils sont de Can, Nurse with Wound et Harry Partch. 2e heure: Quelques
nouveautés en improvisation libre.
Let’s Revisit Some Classics / Free Improvisation: 1st
hour: We add three classic experimental music albums to our list, and they are
by Can, Nurse with Wound and Harry Partch. 2nd hour: New releases in
the field of free improvisation.
(8:00
pm)
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CAN
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Bel
Air
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Future Days
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19:53
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Spoon
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(8:30
pm)
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NURSE
WITH WOUND
|
The
Six Buttons of Sex Appeal
|
Chsnce Meeting on a Dissecting
Table of a Sewing Machine and an Umbrella
|
13:17
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United
Jnana
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|
HARRY
PARTCH
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Exordium:
The Beginning of a Web
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Delusion of the Fury
|
10:46
|
||
(9:00
pm)
|
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|
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|
|
JOHN
STEVENS - P. RUTHERFORD - E. PARKER - BARRY GUY
|
2,4,4,
|
One four and two twos
|
11:06
|
||
CHARLOTTE
HUG & FRÉDÉRIC BLONDY
|
Thor
|
Bouquet
|
05:59
|
||
WATT
|
End
of Day
|
Alter Egos
|
04:40
|
||
(9:30
pm)
|
|
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|
WAY
OUT NORTHWEST
|
Saponariae
|
The White Spot
|
07:20
|
||
NILS
GEROLD - NICOLAS GUAZZALOCA - STEFANO GIUST
|
Techniques
archaïques
|
Transition
|
06:58
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JOY
FREMPONG & PHILIPPE EHINGER
|
L'autre
continent
|
Les voisins ne parlent pas tous la
même langue
|
02:31
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NELS
CLINE & ELLIOTT SHARP
|
Five
Tastes of Sour (extrait/excerpt)
|
Open the Door
|
9:00
|
COMPLÉMENTS
SUPPLEMENTS
Revisitons nos classiques / Let’s Revisit Some Classics
La liste complète des classiques!
The complete list of classic albums!
http://blog.monsieurdelire.com/2012/03/revisitons-nos-classiques-la-liste-lets.html
CHARLOTTE HUG & FRÉDÉRIC BLONDY
Un extrait en concert.
Concert footage.
Délire musical, 2013-02-05
DÉLIRE MUSICAL
Réécoutez (streaming ou téléchargement) la dernière
édition de Délire musical ICI (cherchez Délire Musical dans la
liste).
You can listen (stream or download) to the latest
Délire musical broadcast HERE (look
for Délire Musical on the list of shows).
Édition du 5 février 2013
Broadcast Date: February 5, 2013
LISTE DE DIFFUSION
PLAYLIST
Thème/Theme: PETER GABRIEL / A Different Drum - Passion (Geffen)
(7:00
pm)
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*MOSTLY
OTHER PEOPLE DO THE KILLING
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Yo,
Yeo, Yough
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Slippery
Rock!
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4:41
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COYOTE
BILL
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Minou,
gare au loup...
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Coyote
Bill
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4:43
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CHICAGO
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A
Hit by Varèse
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Chicago
V
|
4:56
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Rhino
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CATHERINE
DELAUNEY
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Comfort
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Sois
patient car le loup
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2:54
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(7:30 pm)
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SYLVAIN
CHAUVEAU
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Et
peu à peu les flots respiraient comme on pleure
|
Le
Livre noir du capitalisme
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3:28
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JON
DE ROSA
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Ladies
in Love
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Anchored
|
3:33
|
Silber
|
KRAFTWERK
|
Trans-Europe
Express
|
Trans-Europe
Express
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6:47
|
Capitol
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BONOBO
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1009
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Black
Sands
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4:30
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DÜN
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L’épice
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Eros
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2:30
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merci à/thanks to:
*Braithwaite & Katz Communications
COMPLÉMENTS
SUPPLEMENTS
MOSTLY OTHER PEOPLE DO THE KILLING
Tel que promis en ondes, voici la pochette de leur nouveau
disque.
As promised on-air, here’s the cover artwork of their
new album.
CATHERINE DELAUNAY
Écoutez des extraits de l’album.
Listen to the album.
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