Journal d'écoute / Listening Diary
2009-06-15
Oui, je sais, on dirait que j’ai ralenti le rythme de mes écoutes. Faux! C’est que je suis fort occupé à écouter des propositions pour le prochain FIMAV – et ces écoutes-là, je ne peux pas vous en parler. Ne cherchez pas, elles ne se cachent pas de ce journal. J’ai tout de même écouté un ou deux nouveaux trucs aujourd’hui, et je viens de recevoir le nouveau disque de Peter Hammill, que j’écouterai attentivement (religieusement, même) ce soir. Je vous en parle demain.
Yeah, I know, it looks like I’ve been slagging off lately. But I’m not! Actually, I’m pretty busy listening to propositions for the next FIMAV festival – and that’s a part of my listening I just can’t comment on right now. So don’t go combing my listening diary for clues. Still, I managed to listen to a couple of new releases today, AND Peter Hammill’s brand new album Thin Air just came in. I’ll be attentively (religiously, even) llistening to that one tonight, and report about it tomorrow.
SLEEP WHALE / Little Brite (Western Vinyl)
Un disque typique de post-rock/post-folk: belles guitares acoustiques sur fond de violons, voix éthérées sans paroles et ambiances feutrées. Ça manque de substance mais c’est agréable, malheureusement dérivatif, sans cette étincelle qui peut transformer ce genre un peu naïf en expérience transportante (comme le dernier Balmorhea ou les deux derniers Helios). Il s’agit d’un EP au format vinyle.
Your typical post-rock/post-folk record: pretty acoustic guitars over violins, ethereal wordless vocals, and felt ambiences. It lacks substance but it’s enjoyable, although slightly derivative and without the spark that can ignite this slightly naive genre into a highly moving journey (like Balmorhea’s latest or Helios’ latest two). This is a vinyl EP.
ASHER QUINN / Forgotten Language of the Heart (Voiceprint)
Je connaissais pas du tout Asher Quinn avant de recevoir cette compilation double. Elle couvre 21 ans de carrière. Quinn a publié son premier disque, Open Secret, en 1987. Il était produit par Anthony Phillips, que j’aime beaucoup. La carrière de Quinn est divisée en deux facettes: d’un côté, une musique instrumentale “nouvel âge” aux résonances spirituelles; de l’autre, de la chanson folk douce et bien sentie. J’ai peu d’intérêt pour la première moitié, mais la seconde est agréable. Sa voix rappelle le chanteur tchèque Vladimir Veit (oui, référence obscure, mais c’est vrai), sa manière a quelque chose de Gordon Giltrap et de Shaun Phillips. Un peu de Cat Stevens aussi. Mais à deux heures et demie au total, cette compilation est trop généreuse pour son propre bien.
I knew nothing about Asher Quinn prior to receiving this 2-CD best-of spanning a 21-year career. Quinn released his first album in 1987, Open Secret, produced by Anthony Phillips, whom I really likr. Quinn’s career is split into two strands: instrumental and spiritually-tinged new-age music on the one hand, quiet folk singing on the other. I have little interest in the former, but the later is quite enjoyable. His voice reminds me of Czech folkie Vladimir Veit (an obscure reference, I know, but it’s true!), and his songsmithing is reminiscent of Gordon Giltrap, Shaun Phillips, and maybe a bit of Cat Stevens too. However, clocking at 2.5 hours, this compilation is too generous for its own good.
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